Les affaires de séquestration de jeunes filles dans les camps de Tindouf, dont la dernière en date est celle de Darya Embark Salma, ne sont que la partie émergente de l’iceberg dans cette zone de non-droit où les valeurs morales ont atteint un seuil de dégradation très critique, a affirmé l’universitaire et porte parole de l’Association des Tribus Sahraouies Marocaines en Europe (ATSME), Lahcen Mahraoui.

Les partis de l'Union Socialiste des Forces Populaires (USFP), de l'Istiqlal (PI), Authenticité et Modernité (PAM) et de l'Union Constitutionnelle (UC) ont lancé, mercredi à Rabat, une initiative nationale pour la mise en œuvre de l'autonomie dans les provinces du sud du Royaume.

La commission régionale du développement humain de la province de Laâyoune a approuvé à l’issue d’une réunion ce mardi l'octroi de 4 millions 547 milles et 880 dirhams pour le financement de deux projets dans le cadre du programme de l'Initiative nationale pour le développement humain pour l'année 2014.

Après l’affaire de la jeune Mahjouba Mohamed Hamdidaf, qui a déclenché une grande mobilisation internationale obligeant le +Polisario+ à la libérer après 90 jours de séquestration, un autre cas vient d'éclater dans les camps de la honte à Tindouf, sur le territoire algérien, éclaboussant la junte de Rabouni et mettant à nu les allégations des associations qui prétendent défendre les droits de l’homme, surtout en Espagne.

Sigfrido Reyes, président de l'Assemblée Nationale de la République du Salvador, a exprimé la volonté de son pays à "soutenir la thèse marocaine, pour rétablir la paix dans la région et parvenir à une solution de la question du Sahara sur la base de la proposition d'autonomie."