Intervenant à cette occasion, l’ambassadeur Représentant permanent du Burundi à l’ONU, Albert Shingiro, a salué "les mesures et initiatives prises par le Maroc, ainsi que le rôle joué par les commissions du Conseil national des droits de l’homme à Dakhla et Laâyoune, dont se félicite d’ailleurs le Conseil de sécurité dans ses résolutions, y compris la résolution 2468".
De même, M. Shingiro a invité les parties concernées à "travailler sans relâche dans le cadre des bons offices exclusifs du Secrétaire général des Nations-Unies en vue d’aboutir à un règlement politique négocié, juste, durable et mutuellement acceptable" à la question du Sahara marocain.
Par ailleurs, l'ambassadeur du Burundi s'est félicité du nouvel élan impulsé par les deux tables rondes tenues en décembre 2018 et en mars 2019 à Genève et de la volonté des parties de "participer, d'une manière sérieuse et respectueuse, au processus politique engagé par l'ONU".
"L'engagement des quatre parties à se réunir pour une troisième table ronde, dans le même format, comme stipulé dans la résolution 2468 est aussi un fait encourageant", a-t-il relevé.
-Actualité concernant la question du Sahara occidental/Corcas-